L’une des dernières menaces ciblant les adolescents et les enfants est Nudes Deepfake. Ces images générées par l’AI représentent de vraies personnes dans des situations ou des activités sexuellement suggestives ou explicites, et peuvent être presque indiscernables des photos réelles.
Les décideurs jouent un rôle clé dans la protection des enfants, notamment de la diffusion des nus de profondeur. Parmi de nombreuses autres interventions, les décideurs doivent rédiger et adopter une législation conçue pour protéger les enfants contre des menaces comme Deepfake Nudes.
C’est pourquoi Thorn soutient la loi sur la prise en charge, une législation critique qui comble un écart juridique clé en criminalisant la distribution connue des représentations visuelles intimes des mineurs – que ce soit authentiques ou générées par l’AI – lorsqu’elles sont partagées avec l’intention de nuire, de harceler ou d’exploiter.
Le projet de loi renforce également les protections contre les menaces de divulgation utilisées pour l’intimidation ou la coercition, garantissant que ceux qui ciblent les enfants en ligne sont tenus responsables.
Pourquoi Thorn soutient l’acte de retrait
Nous soutenons le récent adoption par le Sénat de la loi sur la prise et encourageons la Chambre des représentants à hiérarchiser cette législation critique comme une étape vers la protection des enfants contre les nus profonds.
Nos dernières recherches à Thorn ont révélé que 31% des adolescents connaissent déjà des nus Deepfake, et 1 sur 8 connaît personnellement quelqu’un qui a été ciblé. Ces images manipulées peuvent être utilisées pour le harcèlement, le chantage et les dommages de réputation, provoquant une détresse émotionnelle importante pour les victimes.
Alors que la technologie DeepFake devient plus accessible, nous avons une fenêtre critique d’opportunité de comprendre et de combattre cette forme d’exploitation numérique – avant de se normaliser dans la vie des jeunes – et d’agir en leur nom pour les défendre contre les menaces.
En réalisant un écart juridique clé, ce projet de loi criminalise la distribution de connaissance des représentations visuelles intimes des mineurs – qu’elles soient authentiques ou générées par l’AI – lorsqu’elles sont partagées avec l’intention de nuire, de harceler ou d’exploiter. Surtout, il étend également les sanctions aux menaces de divulgation utilisées pour l’intimidation ou la coercition, fournissant des protections plus fortes pour les enfants victimes.
L’acte de prise représente une étape cruciale vers notre capacité collective à suivre le rythme de l’évolution des menaces et à garantir que ceux qui exploitent les enfants en ligne sont tenus responsables.
À propos de l’acte de prise: ce que vous devez savoir
Quelles sont les composantes clés de l’acte de reprise?
La loi Take It Down présenterait des sanctions pénales à toute personne qui publie sciemment des représentations visuelles intimes d’un adulte identifiable sans consentement et avec l’intention de nuire. Cela comprend à la fois des images authentiques et des images générées par l’AI (fausseries numériques).L’acte de Take It Down présenterait des sanctions pénales pour toute personne qui publie sciemment des représentations visuelles intimes des mineurs, avec l’intention d’humilier, de harceler ou de dégrader le mineur; ou susciter sexuellement toute personne. Cela comprend à la fois des images authentiques et des images générées par l’AI (fausseries numériques). Ces sanctions criminelles ne s’appliquent pas à l’imagerie qui est considérée Plateformes pour établir un «processus de préavis et de suppression» pour éliminer les représentations visuelles intimes non consensuelles, y compris les fausseries numériques générées par l’IA, et ses copies dans les 48 heures suivant le préavis.
Que pourrait signifier ce projet de loi pour lutter contre l’exploitation et les abus sexuels des enfants?
Si l’acte de remise en baisse adopte la Chambre des représentants et devient loi, le projet de loi aurait plusieurs implications pour lutter contre l’exploitation et les abus sexuels des enfants en ligne.
D’abord et avant tout, l’introduction de pénalités pénales par la remise à la baisse pour la publication des représentations visuelles intimes des mineurs comblerait un écart juridique important autour des images nues et exploitantes d’un enfant. Ce sont des images qui seraient considérées comme offensantes, mais ne respectent pas le Définition juridique de la pornographie juvénile– et donc ne sont pas criminalisés de la même manière que le matériel d’abus sexuel des enfants (CSAM). Cela présente une obstacle aux poursuites dans certains cas. En réduisant cet écart juridique et en criminalisant des images nues et exploitantes authentiques et générées par l’AI, un enfant, les procureurs pourront mieux poursuivre les délinquants dans les affaires d’exploitation des enfants et assurer la justice de toutes les victimes d’enfants.
Deuxièmement, l’ajout de sanctions pénales par la remise en baisse pour la menace de divulgation de représentations visuelles intimes des mineurs, à des fins d’intimidation ou d’extorsion, est une étape critique vers la lutte contre la crise croissante de la sextorsion dans ce pays. Notre récent recherche de sextorse indique que 812 rapports de sextorsion sont reçus par le Centre national pour les enfants disparus et exploités (NCMEC) chaque semaine, avec plus des deux tiers impliquant des demandes financières.
Enfin, la loi sur la prise de reprise exigeait des plateformes couvertes pour supprimer les représentations visuelles intimes, à la fois authentiques et générées par l’AI, dans les 48 heures suivant la notification de la victime. Cela fournit une autre avenue de remède aux victimes d’enfants et d’adultes.
Si l’acte de retrait du Down Down passe rapidement par la Chambre des représentants comme au Sénat, cela indiquerait que la prévention de l’exploitation sexuelle en ligne et l’abus des enfants est une priorité sérieuse de ce Congrès. Nous apprécions les nombreux législateurs qui ont soutenu ce projet de loi à ce jour et qui espèrent un passage rapide à travers la Chambre des représentants, au bureau du président et à la loi.
Apprendre encore plus
Ensemble, nous pouvons continuer à défendre les enfants contre les abus sexuels et l’exploitation.