Trop de temps de loisirs peut augmenter la détresse des adolescents, mais l’utilisation liée à l’éducation diffère.
Les adolescents passent aujourd’hui beaucoup de temps à s’asseoir, qu’ils soient collés à leurs écrans, à la lecture ou au jeu. Une étude récente a révélé que lorsque cela s’ajoute à plus de trois heures par jour, cela peut augmenter le risque de difficultés de santé mentale sur la route. Mais tout le temps d’écran n’est pas le même. Le temps passé pour les devoirs ou les cours en ligne semblait avoir un effet différent par rapport aux séances de défilement ou de jeu sans fin.
La technologie étant une grande partie de la vie quotidienne, de nombreux jeunes passent des heures sur leurs téléphones, ordinateurs ou consoles de jeux. Cela a soulevé des inquiétudes quant à la façon dont cela pourrait affecter leur bien-être. Les chercheurs ont examiné les données de milliers d’adolescents et ont trouvé un schéma: ceux qui ont passé trop de leur temps libre à regarder les écrans étaient plus susceptibles de se sentir anxieux, bas ou agités au moment où ils ont atteint 17 ans.
L’étude a suivi les adolescents sur plusieurs années. À 14 ans, ils ont gardé une trace de la façon dont ils ont passé leur temps. Quand ils ont eu 17 ans, ils ont répondu aux questions sur leur santé mentale. Les résultats ont montré que ceux qui ont passé beaucoup de temps sur les activités d’écran de loisirs, en particulier les jeux vidéo, étaient plus susceptibles de signaler en détresse. Fait intéressant, même la lecture pendant de longues périodes a eu un effet similaire, en particulier pour les garçons.
Une explication possible est que le temps d’écran excessif ou les activités solitaires comme la lecture pourraient retirer des interactions sociales du monde réel. La socialisation en personne, passer du temps à l’extérieur et s’engager dans des activités physiques sont connus pour aider à la santé mentale. Lorsque ces choses sont écartées en faveur des heures passées seules sur un écran ou dans un livre, cela pourrait entraîner des sentiments d’isolement.
Les chercheurs ont également souligné que tous les temps d’écran ne sont pas mauvais. L’utilisation de l’éducation, comme étudier ou suivre des cours en ligne, n’avait pas les mêmes effets négatifs. En fait, des quantités modérées d’apprentissage basé sur l’écran semblent être liées à des niveaux de détresse inférieurs.
Un autre facteur à considérer est de savoir comment l’utilisation de l’écran affecte le sommeil. De nombreuses études ont montré que la recherche d’écrans tard dans la nuit peut rendre plus difficile de s’endormir et d’affecter la qualité du sommeil. Un mauvais sommeil est étroitement lié aux luttes de santé mentale, donc cela pourrait être une autre raison pour laquelle trop de temps d’écran est lié à la détresse.
Les parents et les soignants peuvent se demander ce qu’ils peuvent faire pour aider. Sur la base de l’étude, fixer des limites raisonnables sur le temps d’écran récréatif pourrait être un bon début. Encourager un mélange d’activités, y compris l’exercice, le temps social et le jeu en plein air, peut également aider à équilibrer les choses. Il ne s’agit pas d’interdire complètement les écrans, mais plutôt de s’assurer qu’ils ne prennent pas le temps libre.
Cela vaut également la peine de considérer les différences individuelles. Certains adolescents peuvent être plus sensibles au temps d’écran que d’autres. Bien que l’on puisse jouer à des jeux vidéo pendant des heures sans aucun problème, un autre pourrait être pire après un peu de temps. Faire attention à la façon dont un adolescent réagit à l’utilisation d’écran peut aider à trouver le bon solde.
L’étude offre des informations utiles sur la façon dont les jeunes passent leur temps et comment cela pourrait affecter leur bien-être à long terme. Bien que les écrans soient une partie inévitable de la vie moderne, être conscient de la quantité et du type de temps d’écran que les adolescents pour les adolescents pourraient faire une différence dans leur santé mentale. Trouver des moyens de mélanger les activités en ligne et hors ligne pourrait être la clé pour garder les choses en échec et aider les jeunes à prospérer.
Sources:
L’étude relie un temps d’écran excessif à la détresse psychologique chez les adolescents
Association prospective du comportement sédentaire avec la détresse psychologique chez les adolescents