Outs: Gitte Laenen, Circuit de Landegm de la Lamstra (GD & A Advocate)
Discussion du jugement de la Cour de cassation du 16 septembre 2024
Le malentendu de l’obligation d’entendre quand le rejet d’un entrepreneur du gouvernement (en particulier ses conséquences) a déjà fait beaucoup de flux d’encre. Bien qu’il existe un consensus sur le fait que le conseil doit entendre un membre du personnel contractuel avant le licenciement, il semble que la manière dont les dommages doivent être estimés régulièrement semble être un point pour les plats de travail belge. La cour de cassation a récemment fait la lumière à ce sujet.
Les autorités locales doivent se conformer à l’obligation auditive dans le rejet d’un entrepreneur du gouvernement
L’obligation auditive peut être prescrite dans une disposition réglementaire qui impose l’obligation normative à entendre au conseil d’administration, soit elle découle du principe non écrit de la bonne administration Audi Alteram Partem. Ce principe explique au Conseil l’obligation d’entendre un membre du personnel avant – en l’absence d’une obligation normative d’entendre – lorsqu’elle envisage une mesure sérieuse pour des raisons liées à sa personne ou à son comportement.
Dans le cas du licenciement d’un entrepreneur du gouvernement, il n’y avait pas de règlement officiel pendant longtemps qui obligeait l’administration locale à entendre le membre du personnel avant son licenciement. La Cour constitutionnelle a toutefois déjà jugé dans son jugement du 6 juillet 2017 que l’obligation d’audience en tant que principe de bonne gouvernance a en effet son effet sur le rejet d’un entrepreneur du gouvernement. Ce n’est qu’avec l’entrée en vigueur de la loi du 13 mars 2024 que l’obligation auditive dans le contexte du licenciement des entrepreneurs du gouvernement était légalement ancré.
Les conséquences de la méconnaissance de l’obligation auditive
La loi du 13 mars 2024 a accordé une conséquence claire à la méconnaissance de l’obligation auditive, en particulier le paiement de deux (2) semaines de salaire en compensation.
Ce budget contraste avec la loi différente des cas sur le budget des dommages résultant de la non-conformité de l’obligation auditive en tant que principe de bonne administration.
Le fil conducteur tout au long de la majorité du jugement de cas a été la théorie de la perte d’une opportunité. Cela fait référence à la situation dans laquelle une personne a une possibilité réelle (mais pas de certitude) pour gagner un avantage, ou pour éviter un désavantage, et quelle possibilité est annulée par l’erreur des autres au sens du code civil (ancien) (ancien) (ancien) code civil.
Appliqué au rejet d’un entrepreneur du gouvernement, une chance de pouvoir maintenir sa position à la suite de l’obligation d’entendre l’obligation auditive envers l’entrepreneur du gouvernement. Après tout, si l’obligation auditive avait été respectée et que l’entrepreneur du gouvernement avait fait sa défense, la possibilité existait que les raisons de rejeter l’entrepreneur du gouvernement ne seraient plus suffisantes.
Dans la pratique, la soirée du travail et les tribunaux ont attribué une compensation ex aequo et bono, qui est souvent budgétisé entre 2 500,00 et 5 000,00 euros, selon l’affaire. Il y avait même des valeurs aberrantes où les dommages subis ont été estimés à plus de 20 000 euros.
La Cour de cassation met en lumière la doctrine de la perte d’une opportunité
Depuis 2008, un employé a été employé contractuellement par une municipalité au moyen d’un contrat de travail d’une période indéfinie. Après avoir pris note des faits dans lesquels l’employé concerné aurait mis un comportement violent et agressif, ce dernier a été invité le 10 août 2016 pour une audience le 16 août 2016. Conformément à son congé de maladie, l’employé a donné l’audience pour ne pas pouvoir pouvoir pouvoir pouvoir pouvoir pouvoir pouvoir pour assister à l’audience le 14 août 2016. Néanmoins, le 16 août 2016, l’administration locale a néanmoins rejeté si l’indemnisation d’annulation est prise en compte.
L’employé s’est tourné vers le tribunal de travail brabant wallon pour des frais d’annulation supplémentaires d’une part et une compensation pour les dommages matériels et moraux résultant de l’invalidité de l’obligation auditive d’autre part. L’employé s’est appuyé sur la doctrine de la perte d’une opportunité d’estimer ses dommages. L’employé était en premier cas en faveur, mais le tribunal du travail de Bruxelles a déclaré toutes les allégations de l’employé non fondé. Cela a été appelé à la cassation.
Le tribunal de cassation a déclaré que si les dommages se compose de la perte d’une occasion d’obtenir un avantage attendu, ce dommage est établi lorsque la perte, qui est en relation causale avec l’erreur, concerne probablement un avantage. L’employé a donc dû prouver que les chances perdues présumées étaient probables.
En l’espèce, l’employé en question a été nommé directeur général par intérim dans une autre municipalité moins d’un mois après le licenciement donné. De plus, la nomination a suivi le résultat d’une procédure de recrutement qui avait déjà été lancée avant sa démission. La chance que l’employé n’ait pas discuté de la nouvelle relation (sans licenciement) n’a pas été suffisamment démontrée afin que la Cour de cassation ait maintenu le jugement du tribunal du travail.
Quelques réflexions finales
Le jugement de la Cour de cassation du 16 septembre 2024 traite naturellement d’un licenciement datant avant l’entrée en vigueur de la loi du 13 mars 2024.
La question se pose dans quelle mesure la doctrine de la perte d’une opportunité est liée à la compensation plate de deux (2) semaines de salaires actuellement prescrites.
En tout état de cause, le législateur n’a pas donné de réponse concluante à la question de savoir si la sanction légale de deux (2) semaines de salaires se débarrassera définitivement de toutes les discussions sur la question de savoir si elle se présente simplement.
Cette discussion se produit d’autant plus dans le cas d’un licenciement pour raison urgente d’un entrepreneur du gouvernement. Après tout, la loi du 13 mars 2024 exclut explicitement le licenciement de la portée pour une raison urgente. En conséquence, le législateur a créé une situation qui est en contradiction avec le jugement de la Cour constitutionnelle du 22 février 2018, selon laquelle l’obligation d’audience fonctionne effectivement en cas de licenciement pour une raison urgente d’un entrepreneur du gouvernement.
Le chiffre de la perte d’une opportunité est donc toujours actuel et pertinent pour le moment, du moins dans le contexte du licenciement pour une raison urgente de l’entrepreneur du gouvernement.
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Les autorités locales sont ainsi avertis de la révision par un licenciement (pour raison urgente) d’un entrepreneur du gouvernement.
Source: GD & A Advocaten