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    L’ONU réitère son appel à protéger les civils, alors qu’une frappe israélienne meurtrière frappe près d’un hôpital clé de Beyrouth

    La frappe, qui a touché le quartier densément peuplé de Jnah, a également blessé 60 personnes et aurait endommagé l’hôpital universitaire Rafik Hariri. Au moins trois bâtiments situés à environ 50 mètres de l’hôpital auraient été détruits.

    L’hôpital, l’un des principaux établissements médicaux de Beyrouth, a accueilli un grand nombre de patients tout au long du conflit en cours.

    Volker Türk, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme exprimé choqué par l’attaque et a souligné la nécessité urgente de protéger les civils.

    « Les principes fondamentaux du droit international humanitaire concernant la protection des civils doivent être respectés », a-t-il déclaré.

    « Dans la conduite des opérations militaires, toutes les précautions possibles doivent être prises pour éviter et, en tout état de cause, minimiser les pertes accidentelles de vies civiles, les blessures aux civils et les dommages aux biens de caractère civil. »

    Les hôpitaux doivent être protégés

    Les hôpitaux, les ambulances et le personnel médical sont explicitement protégés par le droit international humanitaire en raison de leur rôle essentiel pour sauver des vies.

    « Lorsqu’elles mènent des opérations militaires à proximité d’hôpitaux, les parties au conflit doivent évaluer l’impact attendu sur les services de santé au regard des principes de proportionnalité et de précaution », a ajouté M. Türk.

    Appel à enquête

    M. Türk a appelé à une enquête rapide et approfondie sur la frappe aérienne et a renouvelé l’appel de l’ONU à un cessez-le-feu immédiat.

    « La protection des civils doit être la priorité absolue », a-t-il souligné.

    Des risques sanitaires croissants

    Le conflit a dévasté des infrastructures essentielles, notamment des hôpitaux, des services d’approvisionnement en eau et d’assainissement, faisant craindre des épidémies mortelles, en particulier parmi les communautés déplacées.

    La semaine dernière, les autorités sanitaires a confirmé le premier cas de choléra au nord du Liban, où de nombreuses personnes déplacées par les combats dans le sud ont trouvé refuge, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS).OMS).

    Les partenaires humanitaires ont également mis en garde contre la propagation de maladies de peau telles que la gale, et ont exprimé leur inquiétude pour les groupes vulnérables, notamment les enfants et les personnes âgées, vivant dans des tentes et des abris de fortune à l’approche de l’hiver.

    Réponse humanitaire

    Depuis l’intensification des combats à la mi-septembre, les déplacements ont considérablement augmenté. Selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), le nombre de personnes déplacées est passé de 110 000 à près de 800 000 au 16 octobre.

    De nombreuses familles ont également cherché refuge au-delà des frontières, notamment en Syrie et en Irak, pays eux-mêmes confrontés à des crises.

    En réponse, l’ONU et ses partenaires humanitaires ont lancé le 1er octobre un appel éclair de 426 millions de dollars pour aider un million de personnes au cours des trois prochains mois. Mardi, environ 64,4 millions de dollars a été élevé.

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