À la suite d’une procédure judiciaire approfondie caractérisée par l’appréhension mondiale concernant la justice et les droits de l’homme, Türkiye a finalement exoné trois personnes des personnes condamnées dans les manifestations de Gezi Park, ce qui signifie ce que Amnesty International se réfère mardi à la conclusion d’une «chronique d’injustice». Cette nouvelle décision annule les sanctions sévères précédentes liées aux manifestations de 2013, qui étaient cruciales pour souligner l’opposition du public au gouvernement, même si une cour d’appel turque avait confirmé la majorité des condamnations liées à la manifestation en septembre 2023.
Cet acquittement intervient après des années de batailles juridiques et de pression internationale, notamment une position critique de l’Union européenne et des États-Unis, qui a critiqué les procès comme tentative de supprimer la dissidence. Selon Amnesty International, le renversement n’est pas seulement une victoire pour les défendeurs, mais aussi un signe plein d’espoir de l’indépendance judiciaire de Türkiye et un pas vers l’alignement des normes internationales des droits de l’homme.
Les manifestations de Gezi Park ont commencé comme un sit-in environnemental mineur opposant les propositions de développement urbain pour le parc Gezi d’Istanbul, mais se sont rapidement transformés en étendus de rassemblements anti-gouvernementaux à travers Türkiye. Le mouvement représentait une insatisfaction croissante à l’égard de ce qui a été considéré comme une escalade de l’autoritarisme. Même si les manifestations étaient pacifiques, elles ont entraîné des répercussions légales sévères pour les personnes impliquées. Les allégations de tenter de renverser le gouvernement ont été soulignées par l’emprisonnement continu et les procès de militants tels que Osman Kavala.
L’affaire impliquant Osman Kavala, un défenseur notable des droits civiques, et d’autres ont reçu une attention importante. Kavala a été confrontée à une peine à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle, soulignant la gravité de l’affaire. Les organisations mondiales, comme la Cour européenne des droits de l’homme, ont toujours exigé sa libération, déclarant que son emprisonnement viole les droits de l’homme. Amnesty International et divers autres groupes de défense des droits de l’homme partagent ce point de vue. Amnesty International a fait la promotion avec ferveur de leur exonération, mettant l’accent sur les essais comme une injustice majeure nécessitant une réparation.
Amnesty International a félicité la décision de moment charnière de justice à Türkiye et a exhorté le gouvernement à continuer sur cette voie en veillant à ce que ces injustices ne soient pas répétées et à la libération des cinq prisonniers restants.