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    Accueildroits humainsLe chef de l'ONU appelle à des élections inclusives au Bangladesh

    Le chef de l’ONU appelle à des élections inclusives au Bangladesh

    Dans un déclaration Publié par son porte-parole adjoint lundi soir (heure de New York), le chef de l’ONU a également appelé au plein respect des droits de l’homme dans tout le pays.

    « Le Secrétaire général salue les efforts visant à rétablir le calme et à organiser des élections parlementaires au Bangladesh, avec le soutien d’un gouvernement intérimaire », a déclaré le porte-parole adjoint de l’ONU, Farhan Haq.

    Il a également appelé l’administration intérimaire dirigée par le prix Nobel de la paix Muhammad Yunis à « continuer à faire tous les efforts » pour être inclusive, en tenant compte des voix des femmes et des jeunes ainsi que de celles des communautés minoritaires et autochtones, à mesure que le pays évolue. vers de nouvelles élections.

    M. Yunus et la Grameen Bank, qu’il a fondée, ont reçu le prix Nobel de la paix en 2006 pour leur travail axé sur le développement économique et social à la base.

    Il a prêté serment jeudi dernier en tant que conseiller principal du gouvernement intérimaire (un poste équivalent à celui de Premier ministre), après le Premier ministre bangladais Sheikh Hasina. a démissionné et a fui le pays après des semaines de manifestations.

    La déclaration souligne en outre que le Secrétaire général exprime sa « pleine solidarité » avec le peuple du Bangladesh et appelle au plein respect de ses droits humains.

    Il continue de souligner la nécessité d’une enquête complète, indépendante, impartiale et transparente sur tous les actes de violence.», ajoute le communiqué.

    Chute dramatique du gouvernement

    Plus de 300 personnes, dont de nombreux enfantsauraient été tués depuis des manifestations étudiantes ont éclaté en juillettandis que plus de 20 000 personnes ont été blessées. L’effusion de sang a été l’une des pires jamais connues au Bangladesh.

    Les troubles ont commencé en juillet avec des manifestations d’étudiants contre les quotas d’emploi dans la fonction publique. Bien que le projet ait été retiré, les manifestations ont de nouveau éclaté début aoûtavec la principale exigence que le Premier ministre Hasina démissionne et que les responsables de la répression violente des manifestations soient tenus pour responsables.

    Mme Hasina était au pouvoir depuis janvier 2009, après avoir dirigé le pays de 1996 à 2001.

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